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Le mini guide pour fixer ses tarifs en rédaction web

Comment fixer ses tarifs en rédaction web (+ exemple) ?

Fixer ses prix en rédaction web = la galère 🫠 ?! Quand j’ai commencé, j’ai réellement ramé pour définir mes prix. Pourtant, apprendre à bien définir ses tarifs, c’est essentiel si vous voulez vivre de votre activité de rédacteur web. Je vous explique ma méthode en 5 étapes.

  1. Fixer son salaire idéal
  2. Ajouter ses charges
  3. Calculer son TJM
  4. Calculer un tarif au mot ou au forfait
  5. Ajuster

TJM, tarif au mot, au forfait : quelle méthode adopter ?

Le taux journalier moyen (TJM)

Définition

Le taux journalier moyen (TJM), c’est LA norme chez les freelances : si vos clients ne vous demandent pas votre tarif au mot, ils vous demanderont votre TJM ! Donc même si vous ne l’utilisez pas dans vos missions, il faut le connaître.

Avantages

✅ Tout le monde connaît.

✅ Permet de facturer le temps réellement passé sur une mission.

✅ Utile pour des missions « fourre-tout » et stratégique auprès d’un client (pas uniquement de la rédaction d’articles).

✅ Apporte de la visibilité sur le chiffre d’affaires car souvent utilisé pour des missions récurrentes.

Inconvénients 

❌ Demande à être bien cadré : le client doit savoir à peu près ce que vous pouvez faire en 1 jour de travail pour s’organiser.

❌ Se rapproche du salariat : vous devez délivrer dans un temps donné. Pas d’excuse. Et parfois suivre des horaires de bureau classique pour rester joignable.

❌ Pas adaptable sur des petites missions.

Les tarifs moyens

baromètre-tarifs-redaction-web

Les TJM affinés selon l’expérience :

  • TJM rédacteur web freelance débutant en moyenne 200 à 250 €, soit 20 à 35 € de l’heure.
  • TJM rédacteur expérimenté en moyenne 250 à 350 €, soit 40 à 50 € de l’heure.
  • TJM rédacteur plus premium à partir de 350-450 €, soit 60 € et plus de l’heure.

Le tarif au mot en rédaction web

Définition

Le tarif au mot, c’est comme la petite robe noire dans votre dressing : impossible ou presque de s’en dispenser en rédaction web ! 

Même si ce n’est pas le meilleur, ni le plus rentable, la plupart de vos clients connaissent cette pratique et vous demanderont quel est votre tarif au mot. 

Alors même si vous décidez finalement de vous en passer, vous devriez quand même savoir quoi répondre un peu près si l’on vous pose la question.

Avantages

✅ Tout le monde le connaît.

✅ Facile à mettre en place : on fixe le prix et on calcule en fonction du nombre de mots écrits. Simple, rapide et efficace.

Inconvénients 

❌ Vous devez être productif et écrire vite : si vous passez 5 heures sur un texte de 500 mots, tant pis pour vous.

❌ Ça ne valorise pas votre expertise : le tarif au mot est l’arbre qui cache la forêt, c’est-à-dire tout le travail que vous faites et qui ne se voit pas : optimisation SEO, recherches… 

❌ C’est plus ou moins plafonné : plus vous gagnez en expérience, plus c’est difficile de faire passer un tarif au mot « cher » à 0,20 centime par exemple. Le client a l’habitude de prix plus bas.

Les tarifs moyens

  • tarif d’un rédacteur offshore (ex : Madagascar) ou des plateformes de rédaction web : 0,01 centime à 0,05 centime ;
  • tarif des agences web ou tarif d’un rédacteur web débutant : 0,04 centime à 0,08 centime ;
  • tarif moyen en rédaction web : 0,10 centime ;
  • tarif rédacteur expérimenté : 0,12 à 0,16 centime ;
  • tarif premium : 0,20 centime et plus.

Fixer un tarif au forfait en rédaction web

Définition

Le tarif au forfait consiste à définir un prix fixe pour une prestation donnée. Par exemple, 400 € par mois pour un pack de 2 articles.

Avantages

✅ Prix fixe qui évite de compter les mots ou le temps et valorise mieux votre expertise.

✅ Se prête bien à une certaine récurrence (abonnement mensuel…).

Inconvénients 

❌ Il faut bien calibrer son offre en amont pour ne pas se retrouver à y passer plus de temps que prévu. 

❌ Il faut une offre qui réponde réellement aux besoins du marché et puisse se dupliquer (peu de personnalisation possible ici). 

Les tarifs moyens 

Il n’y a pas réellement de tarifs moyens ici car tout dépend de ce que l’on inclut ou non dans la prestation.

⚡ Exemple : 1 article de 1 000 mots optimisé avec choix du mot-clé = 200 €.

C’est bon, vous y voyez plus clair dans les différentes possibilités pour fixer vos prix ? Alors c’est le moment de rentrer dans le vif du sujet : le calcul de vos tarifs ! 

5 étapes pour fixer ses prix en rédaction web

1. Définir son salaire idéal 

Pour moi, c’est le point de départ parfait : combien voulez-vous gagner ? 2 000 € par mois ? 3 000 € ? Plus ?

⚡ Exemple : on va partir sur un salaire de 2 500 €, soit 30 000 € par an.  

2. Ajouter ses charges (TOUTES ses charges !)

Une fois le salaire idéal fixé, il faut ajouter les incontournables charges. Ici, je pars du principe que vous êtes rédactrice web avec le régime de la micro-entreprise (c’est le cas le plus courant).

Les cotisations sociales

En micro-entreprise, les cotisations sociales sur les prestations de services BNC s’élèvent à 23,1 % du chiffre d’affaires encaissé. 

À cela, vous devez ajouter la contribution à la formation professionnelle (CFP) pour les professions libérales non réglementées qui est de 0,2 % du CA. 

Au total, les charges à verser à l’URSSAF tous les mois ou tous les trimestres représentent donc 23,3 % de votre chiffre d’affaires.

⚡ Le calcul : 30 000 + (23,3 % x 30 000) = 36 990 € de CA annuel.

2 500 + (23,3 % x 2 500) = 3082,5 € de CA brut par mois.

Les charges fixes 

Côté charges, vous pouvez prendre en compte :

  • la mutuelle ; 
  • la prévoyance ;
  • les frais bancaires ;
  • l’espace de coworking ;
  • une éventuelle assurance responsabilité civile professionnelle ; 
  • les logiciels (exemple : des outils SEO comme 1.fr) ;
  • le matériel informatique ;
  • une enveloppe formation…

Globalement, vos charges sont assez faibles en rédaction web. Je vous conseille quand même de ne pas trop les sous-estimer car la facture peut monter assez vite.

En moyenne, on peut compter entre 50 et 250 € par mois. Évidemment, c’est TRÈS variable selon vos choix. 

 Le calcul : 

Pour notre calcul, on va prendre 150 € par mois : 50 d’outils, 50 de mutuelle, 10 pour la banque, 40 de formation.

150 x 12 = 1 800 €.

1 800 + 36 990 = 38 790 € de CA annuel, soit 3232,5 € de CA mensuel.

Les impôts (IR et CFE)

L’impôt sur le revenu

J’écarte volontairement la question de l’impôt sur le revenu car elle est trop variable en fonction de votre situation personnelle.

Pour rappel, en micro-entreprise, votre CA est imposé au barème progressif de l’impôt sur le revenu en fonction de votre tranche d’imposition (entre 0 et 45 %). L’administration fiscale applique un abattement de 34 % sur votre chiffre d’affaires.

À noter : vous pouvez cependant demander à bénéficier du versement fiscal libératoire (VFL). Il s’agit d’une option qui vous permet de payer votre impôt tous les mois en même temps que vos cotisations sociales lors de votre déclaration URSSAF. 

Pour les rédacteurs web, le taux du VFL est de 2,2 % du CA mensuel. L’option peut être intéressante mais tout dépend de votre situation (marié/pacsé, avec ou sans enfant, montant du CA…). 

La CFE

Autre impôt à budgéter en micro-entreprise : la cotisation foncière des entreprises.

Là aussi, c’est très variable selon la localisation de votre entreprise. Certaines villes font payer cher la CFE tandis que d’autres ne font payer que quelques euros. 

La CFE dépend aussi de votre chiffre d’affaires. En moyenne, il faut compter entre 0 et 500 € par an.

3. Calculer son TJM minimum

Enlever les jours non facturables en freelance 

Pour définir votre TJM, il faut savoir combien de jours vous allez réellement travailler dans l’année. 

J’insiste sur le « réellement » parce qu’il est capital.

En freelance : vous vendez votre ressource la plus précieuse aka votre temps. 

Et ça n’a rien à voir avec un salarié. Lui aussi vend son temps, mais à la fin du mois son salaire est décorrélé du temps qu’il a réellement passé à travailler. Alors que vous quand vous faites votre 8e pause café de la journée, vous n’êtes pas rémunéré 🙃.

Il faut donc prendre en compte ce temps que vous passez à travailler, mais qui n’est pas facturable auprès de vos clients pour le répercuter sur votre TJM. 

2 éléments sont à prendre en compte.

1. Les incompressibles
  • La facturation, la comptabilité et la gestion de votre entreprise (exemple : facturer vos clients tous les mois, perdre une matinée à aller régler un problème avec l’URSSAF…).
  • Votre communication (exemple : faire vos posts de la semaine sur LinkedIn).
  • La prospection pour trouver des clients (exemple : envoyer 5 mails personnalisés pour remplir votre planning le mois prochain).

👉 À vous de voir en fonction de vos habitudes et votre business, mais ça me paraît bien de compter a minima :

  • 1 jour pour votre communication/création de contenu ;
  • 1/2 journée pour la prospection ;
  • 1/2 journée pour les tâches administratives et comptabilité ;
  • 1/2 journée de réflexion sur votre développement (votre offre, vos prix…) ;
  • 1/2 journée « d’aléa » : vous êtes malade, vous êtes bloqué dans votre travail parce qu’un client ne vous a pas donné les infos suffisantes pour avancer, vous devez emmener votre chien en urgence chez le véto, etc. 

Ces journées à travailler sur votre business et pas pour votre business sont très importantes et pourtant souvent négligées. 

À noter : ce sont des moyennes. Certains mois, vous n’aurez pas besoin de prospecter. D’autres mois, il n’y aura pas d’aléas, etc.

2. Les vacances

Oubliez les congés payés : vos vacances, vous allez devoir les financer 🏖. 

Et comme vous n’êtes pas Wonder Woman et que vous ne bossez pas H24 7J sur 7 et 365 jours par an, il va bien falloir faire une pause.

Pour les besoins de notre calcul, je vais prendre la moyenne en salarié, c’est-à-dire 5 semaines de vacances par an (25 jours). Évidemment, si vous voulez prendre plus, libre à vous !

Effectuer le calcul final de votre temps de travail

Si on considère qu’il y a en moyenne 21 jours ouvrés par mois, on obtient donc 16 jours potentiellement facturable.

Si on applique au TJM : 3232,5/16 = 202 €.
⚡ Votre TJM minimal est donc de 202 €. 

4. Rapporter son TJM au mot ou au forfait

Le calcul TJM > mot

Une fois que vous connaissez ce tarif horaire, vous devez identifier combien de temps vous prend chacune de vos prestations. 

Pour cela, pas de secret : il faut traquer votre temps ! Il existe de nombreux outils pour ça (exemple Toggl). À chaque fois, vous devez vérifier que vous n’êtes pas en dessous de ce tarif horaire. 

Exemple : 202 / 7 = environ 30 € de l’heure. 

Si un client vous propose 100 € pour un article de 1 000 mots (0,10 centime le mot) et que vous passez 4 heures sur l’article : 100 / 4 = 25 €. A priori ce n’est pas rentable. 

Si vous y passez 3 heures / 100 = 33,33 € de l’heure, c’est ok.

Le calcul TJM > forfait

Reprenons le TJM à 202 € par jour et 30 € de l’heure.

La logique est la même que pour le tarif au mot : il faut savoir à peu près combien de temps vous prend la rédaction d’un article.

⚡Exemple : Si vous prenez 4 heures pour 1 article de 1 000 mots = vous pouvez facturer 120 € l’article (4 heures x 30 €).

5. Faire les ajustements nécessaires

Ce n’est pas tout à fait terminé : maintenant que vous avez votre TJM plancher, il faut l’ajuster.

L’expérience

Plus vous avez d’expérience, plus c’est cher et c’est totalement logique 🤑.

La spécialisation 

Les freelances en rédaction web spécialisés dans certaines thématiques (droit, sciences…) ou dans certains formats peuvent se permettre de facturer plus cher.

La mission

Vous pouvez prendre en compte :

  • La complexité de la mission : certains clients vous fournissent de nombreuses et précieuses informations et vous « mâchent » le travail. C’est donc normal de moins facturer si c’est le cas. À l’inverse, si c’est une mission très complexe, c’est normal de facturer plus cher.
  • Les délais prévus : si la mission doit être réalisée dans un temps restreint, voire en urgence, le tarif est plus élevé.
  • La récurrence de la mission : si vous travaillez avec un client depuis plusieurs mois ou s’il vous a passé une grosse commande, vous pouvez peut-être faire un effort sur le prix (mais ce n’est pas une obligation !). Il s’agit ici de faire une PETITE ristourne, en aucun cas de baisser vos prix de façon drastique.
  • Le client : un grand nom à ajouter à votre portfolio, c’est toujours un plus car c’est une mission qui peut vous permettre de ramener des clients par la suite. De la même façon, si vous travaillez avec une grosse boîte, vous pouvez facturer plus cher que si vous travaillez avec des indépendants.
  • Un gain d’expérience : une mission qui va vous permettre de progresser avec des tâches différentes de ce que vous avez déjà fait, c’est un plus !
  • Les à-côtés inclus dans la mission : si vous offrez un service client 5 étoiles, il faut le prendre en compte dans votre tarif. De la même façon, si votre client vous impose des réunions toutes les semaines, elles peuvent être facturées. Attention aux éventuelles corrections (fréquentes en rédaction web) : ce sont des éléments à définir en amont pour éviter d’y passer trop de temps.

Votre planning

🚨Disclaimer : je ne dis pas qu’il faut se brader quand on n’a pas de clients.

MAIS. Le taux de remplissage de votre planning compte forcément. 

Si vous avez beaucoup de disponibilité et besoin d’argent, c’est certain que vous serez sans doute moins rigide sur le prix.

À l’inverse, si vous êtes blindé, pourquoi ne pas augmenter un peu vos tarifs ?

Le niveau de kif

Oui, ça compte aussi ! Si vous êtes super enthousiaste à l’idée de travailler avec un client, vous pouvez baisser un peu votre prix (dans la limite du raisonnable).

La concurrence

Oui, regarder les prix des autres freelances, c’est paaaaaaaas bien 😜. 

Mais bon, il est toujours utile de jeter un œil à la concurrence. Tout simplement parce que vous évoluez sur un marché économique où la loi de l’offre et la demande prévaut et que c’est exactement ce que votre client va faire. 

Il ne s’agit pas ici de se comparer mais de vérifier que votre tarif est dans les clous. J’entends par là : pas beaucoup trop haut et pas beaucoup trop bas.

Pour éviter une comparaison biaisée, on se compare avec des personnes ayant à peu près le même niveau d’expérience que nous. Et on fait ça avec plusieurs personnes.

Exemple : reprenons notre TJM à 202 €. 
Clairement, je le trouve trop faible et pas représentatif, même si vous débutez. Je l’augmenterai au minimum à 240 € pour un rédacteur débutant. 

L’erreur à ne pas commettre quand on fixe ses tarifs en rédaction web: se brader

C’est sans doute la plus grande erreur commise par un peu près tous les freelances, moi y compris 🙃. Au début de votre activité, vous serez forcément tenté de fixer des prix bas par rapport au marché pour trouver des clients. 

🚨 Alerte FBI (fausse bonne idée).

Les clients pénibles

Souvent moins les clients payent, plus ils ont tendance à être relous… 

Il existe une explication assez simple à ça : si vous fixez des prix très bas, vous envoyez un signal défavorable à vos futurs clients. Ils ont l’impression que vous êtes « mort de faim » et se sentent en position de force par rapport à vous. 

Résultat : cela peut les conduire à exiger toutes sortes de petites choses en plus par rapport au cadre de la mission ou à se montrer irrespectueux par rapport à votre travail…

L’effet repoussoir 

Ils ont aussi globalement l’impression que le travail sera moins bon car « c’était pas cher ». 

Quand on achète un mixeur chez Action, on ne s’attend pas à ce qu’il ait 150 fonctionnalités de fou puisqu’on l’a payé seulement 15 €. Pour vos clients, c’est pareil : ils cherchent des explications rationnelles au prix bas (le fameux « qu’est-ce que ça cache ? »). Et souvent c’est : vous n’êtes pas assez bon. 

Autrement dit, vous pourriez repousser les éventuels clients avec un prix trop bas. Si vous êtes comme l’écrasante majorité des gens, vous choisirez sans doute la moyenne gamme des paquets de biscuits, la marque distributeur ou bien la marque. Pas les biscuits éco +.

Le burn-out

Si vos prix sont trop bas, il va falloir faire du volume pour espérer vous dégager un salaire décent… Vous devrez donc vous transformer en machine à écrire humaine. 

Et surtout, vous allez vous tuer à la tâche et passer des heures et des heures à travailler pour gagner des cacahuètes 🥜. Et ce n’est sans doute pas pour ça que vous êtes devenu indépendant.

En résumé : gagner sa vie en rédaction web, c’est tout à fait possible, même si vous débutez. 

Comment augmenter ses tarifs en rédaction web ?

L’argent, c’est avant tout une question de mindset et de confiance. Votre façon de fixer vos prix est influencée par :

  • l’éducation et la manière dont vos parents géraient leur propre argent ;
  • votre passif sain ou malsain par rapport à l’argent dans le passé ;
  • votre confiance en vous ;
  • votre classe sociale ;
  • votre genre…

Oui c’est injuste mais si vous êtes un homme blanc issu d’une famille aisée, vivant à Paris, que vous avez travaillé dans des start-ups avec un bon salaire dès la sortie de votre école de commerce, vous avez peu de chance de mal fixer vos prix et de vous brader.

Petite statistique au passage : en moyenne, les femmes freelances gagnent moins que les hommes freelances. Comprendre : elles se vendent moins cher.

Il faut avoir conscience de l’ensemble de ces biais et mécanismes qui rentrent en jeu pour « objectiver » le calcul de votre TJM.

En clair, il peut être intéressant de travailler ses préjugés conscients ou inconscients sur l’argent quand on devient freelance pour fixer un « bon » tarif, c’est-à-dire un tarif avec lequel vous êtes à l’aise et que vous êtes capable de défendre.

Il y a plein de manières de facturer plus cher en rédaction web : 

  • vendre une mission plus globale (par exemple, en incluant de la stratégie SEO) ;
  • gagner en expérience ; 
  • se nicher

Et tout simplement : vous pouvez aussi assumer d’avoir des prix élevés ! Il y a toujours un client pour chaque type de prestation, peu importe son prix.


Le mot de la fin sur les tarifs du rédacteur web

👉 N’oubliez pas que :

  • Votre client va gagner de l’argent grâce à votre travail (posez-vous la question : combien allez-vous lui rapporter grâce à votre travail ?).
  • Pour une entreprise, embaucher un freelance est nettement plus économique que d’embaucher un salarié.
  • Si ce n’est pas vous, c’est un autre freelance, qui arrivera peut-être à faire passer un prix plus élevé que le vôtre.

Besoin d’un avis sur vos prix ? D’aide pour les fixer ? Je peux peut-être vous accompagner !